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Sochi: L'Ange de la mort siffle la fin de l’Armageddon.

Updated: Oct 10, 2021

Il y a eu en Syrie une bataille qui n'a pas révélé son nom. La mère des batailles. Et la République a vaincu.


Général Abram Petrov Hannibal. 1696 – 14 May 1781

Pendant que les chefs d'État et de gouvernement africains réunis en sommet à Sochi rivalisaient de médiocrité dans des interventions dignes des écoliers, sans qu'un seul d'entre eux ne fasse référence au Général Abram Petrov Hannibal, ce noir originaire du Cameroun actuel, qui a ni plus ni moins introduit la technologie et les mathématiques en Russie, un signe très particulier se manifestait dans le ciel de l'Azanie. Deux Tupolev TU-160 faisaient leur approche pour un atterrissage majestueux sur la base militaire de Waterkloof près de Pretoria. Tout un symbole!


À Sochi, avec leurs mots, les Chefs d'État, du nord au sud du continent, n'ont pas tari d'éloges envers l'Union soviétique. Les uns, comme l'Angola, pour son soutien dans leur lutte de libération. Un autre, comme l'Éthiopie, pour son appui pour le maintien de son indépendance originelle. Il y avait aussi dans le groupe, ceux qui étaient du mauvais côté de l'Histoire comme des pantins des États-Unis, de l'Angleterre, et même d’Israël, ou encore de la France. Les adeptes du pré-carré français de triste mémoire, comme le Mali ou le Sénégal, ont dû se rendre à l'évidence de l'ignominie de la France avec son fameux pacte sur la continuation de la colonisation et l'énorme arnaque du CFA qui rapporte des centaines de milliards d'euros à ce pays européen...



Alors même que les pays africains sont incapables de nourrir leurs populations obligées de s'exiler par des voies extrêmes vers une France qui, après avoir déclenché un enfer des djihadistes en Libye et dans la région, leur réserve un accueil loin de toute gloire. Par rapport au niveau d'investissement qu'ils représentent dans le patrimoine économique et historique français. En effet, alors que les ancêtres des Occidentaux vendaient des saucissons aux occupants allemands, parmi ces immigrants de l'extrême, il y a ceux qui, en plus de la capitation du CFA, ont payé le prix du sang par leurs ancêtres pour la liberté des européens. Sans l'intervention des tirailleurs sénégalais, les minerais du Kongo, mais aussi le génie militaire de la Russie, le président français s'exprimerait sans doute en allemand aujourd'hui lors d'un sommet de la Germaphonie à Strasbourg.


Pour les fanatiques de la secte luciférienne américaine, comme le Rwanda et l'Uganda, l'expérience des Kurdes, fervents soutiens des occidentaux et des USA en particulier, avec leur abandon en rase campagne par le grand Satan, après de bons et loyaux services contre les pays voisins, a dû sonner comme une alarme. Une alerte pour vite se ranger du bon côté de l'Histoire. Avant que celle-ci ne les range.



Avec cet atterrissage du TU-160 sur la base militaire de Waterkloof, la chose peut paraître banale. Mais l'avion mythique de l'ère soviétique est tout sauf un coucou pour amuser la galerie. Ce bombardier stratégique est une véritable foudre de guerre.


Il n'est ni plus ni moins que le plus gros engin supersonique au monde et le plus lourd avion de combat. La géométrie variable de ses ailes est une prouesse scientifique et technologique. Elle lui permet d'opérer à la fois en subsonique pour des missions de pénétration en basse altitude des systèmes antiaériens ennemis. Et en supersonique à haute altitude pour délivrer des missiles hypersoniques intercontinentaux. Dans sa version 160 M2, l'engin volant est effectivement capable de délivrer des missiles hypersoniques air-sol de longue portée et à tête nucléaire. Une technologie hypersonique pour laquelle la Russie dispose désormais par ailleurs d'une supériorité stratégique absolue comme l'a annoncé récemment Poutine. Les Occidentaux le savent et ne le crient pas sur les toits de leurs media mainstream de propagande.


«Et le septieme versa sa coupe dans l'air; et il sortit du temple du ciel une grande voix procedant du trone, disant: C'est fait!» Apocalypse 16:17

L'événement quant à lui peut aussi paraître banal. Néanmoins, cet engin de la mort de la technologie russe, qui porte bien sa classification de bombardier stratégique, est une arme redoutable qui assure à la fois la dissuasion et l'affirmation d'un rapport de force inquiétant, à tout le moins. Pour les ennemis de la mère Russie. Ces inquiétudes sont observées chaque fois que l'engin se déplace tant il est régulièrement abordé et escorté par l'aviation des pays européens souvent obligés de se coaliser pour le savoir le plus loin possible de leur espace aérien. Sa seule présence inquiète au plus haut niveau. Et la Russie en fait un usage réellement stratégique pour réaffirmer sa présence militaire. C'est le cas notamment lorsqu'elle le fait poser au Vénézuela en 2018, en soutien à un Maduro en passe d'être dévoré cru par l'Amérique.


Pour le vol sur l'Azanie, dans ce que la Russie présente elle-même comme un vol symbolique, point n'est besoin d'être diplômé en aérospatiale pour comprendre que l'opération porte un message en lien avec la rencontre à Sochi. Un message qui signe la fin d'une ère dans les rapports géostratégiques sur le continent noir et dans le monde. Au-delà du fait que l'engin est réceptionné sur le continent noir par un commandant noir sur une base militaire d'un pays qui a longtemps été sous domination blanche occidentale. Dans un régime luciférien d'Apartheid que la Russie a combattu avec ces noirs aujourd'hui victorieux.


The loosers. L'infâme KAGAME et le commandant des forces armées américaines en Afrique, AFRICOM.

L'image de l'Antonov écrasé comme par hasard quelques temps auparavant en RDC, juste avant ce sommet de Sochi, sans doute pour forcer dans les esprits une impression de médiocrité de la technologie russe, a été savamment corrigée. Un symbole a été remplacé par un autre dans le continent noir.


Un continent noir qui a été longtemps le terrain des guerres de prédation des puissances occidentales et leurs suzerains. Des monarchies de tous les continents qui avaient décrété une guerre sainte contre les Républiques de la planète entière avec l'Iran comme l'épouvantail suprême dont il fallait absolument empêcher de propager le modèle révolutionnaire. La révolution avec sa guillotine depuis 1789 et 1804 en Haiti, était le cauchemar des têtes couronnées qu'il fallait absolument faire payer à tous ces pays qui avaient fait le choix de la liberté et de la dignité. Contre la soumission féodale d'un ordre monarchique et ses vassaux occidentaux et africains. Ceux de fausses républiques ou des républiques monarchiques comme la France de Sarkozy, ou pire, celle de Macron.


Aujourd’hui, d’est en ouest, de la Somalie au Mali, le continent est sous la coupe des fanatiques qui répandent mort et désolation au sein des populations déjà exténuées par des décennies de prédation occidentale. Des mercenaires islamistes à la solde, hier comme aujourd’hui, des mêmes puissances de la monarchie qui, de fait, les ont toujours utilisé comme prétexte à leur entreprise macabre d’occupation coloniale et de domination.


Accueil de Vladimir Poutine à Abu Dhabi.

Ce mépris caractéristique des puissances monarchiques est à n’en point douter la cause de la tragédie qui secoue les Grands lacs depuis une trentaine d’années. Une tragédie faussement présentée comme un conflit ethnique Hutu-Tutsi entre des indigènes barbares. Alors qu’il s’agit en réalité d’une guerre impliquant une majorité des Hutu asservis par une minorité d’aristocrates Tutsi dans un système formel de castes sous le nom bien connu de l’Ubuhake. Un asservissement féodal qui a été formellement racisé par les occupants allemands par l'association systématique des caucasoïdes hamites aux seigneurs Tutsi et les autochtones kongoïdes aux serfs Hutu. Suivant des théories d'une anthropologie physique, aujourd'hui formellement reconnue comme raciste, qui avaient amené les mêmes Aryens allemands à la confection des chambres à gaz. Avant que la Russie des peuples slaves ne vienne les arrêter. Celle-là même qui s'était libérée en 1917 du joug de la domination féodale par sa révolution historique. En digne héritière de l'Haiti de Dessalines dont nous regrettons l'absence à Sochi.


Dans cette guerre contre la République, le verrou contre les trois Républiques les plus puissantes à abattre, Russie, Iran mais aussi Turquie, était la Syrie. Là où a eu lieu une bataille qui n'a pas révélé son nom. La mère des batailles...


Comme en témoigne le baroud d'honneur qui lui a été réservé dans les Émirats arabes unis après coup, avec sa victoire contre l'axe du mal et ce qui avait des allures d'une reddition enchantée à Abu Dhabi des princes de ce monde conduits par le grand Satan et même le petit, la Russie révolutionnaire signe la fin d'une guerre aux dimensions à la fois multiples, insoupçonnées et insaisissables.


Avec cette fin, c'est la victoire du bien sur le mal.


La Monarchie a vécu. La République a vaincu.


Bukoko Ikoki,

Citoyen ordinaire.













 
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As of The Sun of Righteousness, we do not accuse. Neither do we judge, nor condemn. We do not stone. We do not curse. We bless our enemies and persecutors. While we let the dead bury their own dead, as we pick up our Cross, we revive our loved ones from lethal errors.


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