Église corps du Christ ou Synagogue de Satan?
Réponse à MPR: Briser les liens de la vassalisation au Portugal par l'Église.
Le Dieu d'Azarias qui l'encourage à arracher les terres de ses voisins, à violer la femme de son prochain le jour de son mariage, à sacrifier son fils, etc, peut-il aussi être le DIEU de KAPANGALA? Si les loups ne se mangent pas entre eux?
Vous ne savez pas ce que vous adorez. Le «Dieu» d'Abraham que vous adorez est le diable.
Christ le dit clairement dans ce passage que personne ne veut reconnaître lorsqu'il s'adresse aux Juifs qui lui déclinent leur filiation abrahamique:
«Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge.» Jean 8:44.
Autres fois respectés, voire craints, même si tout n'était pas rose, aujourd'hui, nous avons repris les prénoms des «Saints» européens que des diables sortis tout droit de l'enfer nous ont imposés dans des conditions ignobles. Nous avons même opté pour le port d'une laisse par «con-formité» au reste de la meute. Nous voici redevenus la risée du monde. Comme en 1491, le 3 Mai, lorsque le Mani-Kongo s'est «con-verti» au catholicisme romain en adoptant l'appellation de Joao. Livrant ainsi l'âme du Muntu à l'esclavage, après la vassalisation du KONGO par le petit Portugal. Depuis lors, le pays est soumis à la domination de tous les petits pays du monde. Hier, la Belgique, Aujourd'hui le Rwanda et ses ennemis intérieurs, les Talibans. Demain peut-être le Liban, ou le Djibuti ou encore l'eSwatini...
Le Dieu d'Azarias qui l'encourage à arracher les terres de ses voisins, à violer la femme de son prochain le jour de son mariage, à sacrifier son fils, etc, peut-il raisonnablement être le DIEU de KAPANGALA?
Nous avons tourné le dos à la vérité depuis le 3 mai 1491. À notre Vérité. Depuis beaucoup trop longtemps.
Nous avons embrassé une Église qui était en réalité une Synagogue de Satan. Un repère de vipères qui n'avait rien à voir avec l'Esprit de Vérité incarné par Christ. Christ, Lui-même qui n'a rien à voir avec le Dieu d'Abraham qu'il désigne à juste titre comme le diable. Celui qui est meurtrier depuis le commencement. Celui qui offre un serpent à son fils quand il lui demande un poisson. Celui qui est le père du mensonge et que les Congolais ont choisi d'adorer et de croire en ses promesses.
Nous devons briser les liens de la vassalisation au Portugal (Poto) créés par l'Église. Voilà ce que nous n'avons pas fait, pour répondre à MPR.
Pour recouvrer la liberté, il n'y a pas d'autre issue que de retourner à notre vérité. Notre véritable authenticité. Pas celle du MPR Parti-État. Mềme si c'était un bon debut. Il s'agit ici de l'authenticité qui nous a assuré le leadership de la Terre, à partir de la vallée du Nil, pendant près de cinq mille ans. Jusqu'à notre perte de l'initiative historique suite aux diverses invasions hamite, sémite, et autres caucasiennes qui continuent jusqu'à ce jour. Qui ne s'arrêteront probablement pas sans prendre les dispositions appropriées. Nous devons tirer les leçons du passé.
Et l'Éternel des armées les bénira et dira: «Bénis soient l'Égypte, mon peuple...»
Ésaïe 19:25
L'esclavage des Bantu, au KONGO en particulier, est l'oeuvre de l'Église. C'est avec la «bénédiction» de l'Église que se met en branle la machine du commerce triangulaire qui prend son origine au KONGO, avec la conversion du Mwene Kongo, Nzing' a Nkuvu, au catholicisme romain. Avant cet événement, le KONGO traite d'égal à égal avec la plus grande puissance commerciale de l'époque. Le rapt des esclaves est impossible par le Portugal. C'est sur la base de la bulle papale Romanus Pontifex du 8 janvier 1454, qui autorise le roi du Portugal à capturer les nègres diabolisés et taxés de païens pour une servitude décrétée perpétuelle, que le Portugal se lance dans la traite négrière. Après la vassalisation formelle du KONGO. Le roi du Portugal n'est pas le seul à se livrer à ce commerce ignoble. L'Église elle-même met la main à la pâte en s'adonnant à la déportation de ses propres captifs. Comme en témoigne un document récent publié sur YouTube sur les noirs de l'Équateur, en Amérique latine, arrivés comme esclaves par le truchement de la Sainte Église catholique romaine et apostolique.
L'asservissement des noirs voulu perpétuel par l'Église est-il compatible avec la vision d'un KONGO que nous voulons libre? Telle est la question à laquelle nous devons répondre. En plus d'autres. Pour nous faire une religion sur la question.
Au-delà des aspects historiques incontestables, nous devons nous intéresser à la racine des choses et nous poser également les questions qui s'imposent.
Le Dieu de RUBERWA qui l'encourage à arracher les terres de ses voisins, à violer la femme de son prochain le jour de son mariage, à sacrifier son fils, etc, peut-il être le DIEU de KAPANGALA?
Enfin, le Dieu d'Israël qui a assassiné la Vérité incarnée est-il Celui du KONGO?
Dans quoi avons-nous mis les pieds?
S'il y a un seul peuple au monde qui est autant attaché à la Divinité, c'est sans aucun doute le peuple du KONGO. Son attachement à DIEU dépasse tout entendement. En effet, il est incroyable pour celui qui, malgré sa ferveur inégalée, croupit dans une misère blanche depuis des siècles, de néanmoins s'accrocher à une religion chrétienne, qui s'est interposée entre lui et son DIEU, et qui ne lui apporte pourtant aucune réponse aux plus élémentaires de ses préoccupations. Pire, qui le maintient dans une domination de ses voisins et des peuples les plus insignifiants au regard de sa grandeur et de son Histoire.
Cela dit, doit-on véritablement s'étonner de ce que cette religion qui est animée essentiellement par l'Église n'a produit jusque-là que des fruits amers pour ce peuple?
Le postulat que nous nous donnons est que Christ est l'Esprit de Vérité. Il est le Chemin qui conduit à la Liberté.
Mais alors, la question qu'il faut se poser est de savoir si cette Église a jamais été à un quelconque moment de son histoire sur le continent noir en conformité avec l'Esprit de Vérité incarnée par Christ.
La réponse à cette question détermine la condition de misère, de pauvreté, de détresse dans laquelle est plongé un peuple qui prie sans avoir de réponse à ses prières.
La vérité, au vu des faits indéniables relevant de l'Histoire, et même des écritures, est que l'Église qui sous-traite le lien à Dieu de ce peuple, est une organisation qui opère dans un mensonge structurel qui ne peut mener à aucun salut. Il n'est dès lors pas étonnant que le peuple le plus attaché à DIEU reste enchaîné dans une misère ignoble parce que l'Église qu'il embrasse est en réalité une Synagogue de Satan.
«Je connais ta tribulation et ta pauvreté (bien que tu sois riche), et les calomnies de la part de ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.»
Apocalypse 2:9 LSG.
Comment s'en convaincre? À ce propos, les mots de KIMBANGU résonnent au plus profond de nous lorsqu'il nous invite à rechercher une maîtrise parfaite de la Bible pour attraper l'homme blanc qui l'a vulgarisée dans son propre mensonge.
Et la Bible dit que la Bible est un tissu de mensonges:
« C'est en vain que s'est mise à l'oeuvre la main mensongère des scribes.» Jérémie 8:8.
Puisqu'il est donc question de mensonges, et de beaucoup de mensonges, dans le livre qui porte la religion chrétienne, celle qui sous-tend aujourd'hui le logiciel, pire le système d'exploitation, qui régit l'âme du Muntu, nous avons fait le choix de nous tourner vers la vérité. Et vers Christ, en particulier, comme rédempteur des victimes d'un Occident dont la criminalité semble se perdre dans la nuit des temps, pour analyser les œuvres de cette Église qui prétend être son corps. Ainsi, nous forger une opinion sur son adéquation pour le KONGO.
La plus grande escroquerie de Rome est sans doute le fait qu'il ait réussi à convaincre le monde que l'Église était l'oeuvre de Christ. Et qu'au passage, le pape était son représentant sur Terre. Son vicaire. LOL!
Pourtant, rien n'est plus faux au regard de l'Histoire de la religion. Paul est le vrai précurseur de cette religion. Pour comprendre le Christianisme, il faut donc s'intéresser à Paul. S'intéresser à Paul n'est pas sans importance dans le contexte congolais, où bon nombre de croyants sont convaincus que le narrateur de certains passages des épîtres de Paul est Christ Lui-même!
Qui est Paul, cet illustre inconnu de Christ, des apôtres et des disciples avant le départ du Maître?
Qui est donc Paul?
La meilleure réponse qui peut être donnée à cette interrogation ne peut venir que de Paul lui-même. Dans Philippiens 3:5, l'intéressé nous explique:
«moi, circoncis le huitième jour, de la race d'Israël, de la tribu de Benjamin, Hébreu né d'Hébreux; quant à la loi, pharisien;» Philippiens 3:5.
Paul est donc un Pharisien.
D'après à nouveau ses propres mots, il est aussi le père des chrétiens:
«Ce n'est pas pour vous faire honte que j'écris ces choses; mais je vous avertis comme mes enfants bien-aimés. 15 Car, quand vous auriez dix mille maîtres en Christ, vous n'avez cependant pas plusieurs pères, puisque c'est moi qui vous ai engendrés en Jésus Christ par l'Évangile.» 1 Cor 4 14-15.
Le diable se cache dans le détail. Et ce détail est de taille dans la compréhension que nous pouvons nous faire de l'Église de Paul.
Il est intéressant de considérer ce que Christ dit des Pharisiens dont Paul fait précisément partie. Christ les considère ni plus ni moins comme des rejetons du diable. Ils ont pour père le diable. Il est le père du mensonge. Il l'a toujours été depuis le commencement.
Si les Pharisiens sont les fils du diable, d'après Christ Lui-même, il faut se rendre à l'évidence de ce que ceux qui se font appeler «chrétiens», sont aussi les fils du diable, car Paul est leur père et il est Pharisien. Ceci est d'une logique mathématique implacable. Une logique qui pèse, certes, lourd dans la tête du nègre et qui lui cause des maux de cœur.
L'Église est donc l'oeuvre du diable. Ses fruits sont indiscutablement probants quant à ce caractère maléfique.
En effet, que ce soient les scandales financiers, les abus sexuels perpétrés contre des enfants que Christ interdit spécifiquement de toucher, l'esclavage, la colonisation, l'Apartheid, il s'agit là d'un ensemble d'indicateurs établis par Christ Lui-même qui montrent que cette Église, plus qu'une organisation criminelle, est en réalité une Synagogue de Satan.
Le plus grand crime de cette Église est incontestablement l'esclavage qu'elle organise contre le Muntu. Et cet esclavage est introduit dans les enseignements vicieusement associés à Christ précisément par Paul. Car, lorsque Christ interdit formellement que ses disciples se constituent en maîtres de leurs frères, Paul recommande le contraire. En formalisant l'idée de servitude dans la foi chrétienne. C'est par Paul que l'esclavage se conçoit dans le monde chrétien.
On peut être chrétien dans l'empire, et néanmoins y figurer parfaitement comme un esclave, et servir avec abnégation son frère dans la foi négrier.
«6 Que tous ceux qui sont sous le joug de la servitude regardent leurs maîtres comme dignes de tout honneur, afin que le nom de Dieu et la doctrine ne soient pas blasphémés. 2 Et que ceux qui ont des fidèles pour maîtres ne les méprisent pas, sous prétexte qu'ils sont frères; mais qu'ils les servent d'autant mieux que ce sont des fidèles et des bien-aimés qui s'attachent à leur faire du bien. Enseigne ces choses et recommande-les.»
1 Timothée 6:1-2.
Difficile de croire qu'une telle doctrine fait partie d'un mouvement qui s'inspire de celui qui est le symbole même de la liberté. Ces paroles sont radicalement opposées aux mots que Christ prononce dans les termes les plus clairs:
«8 Mais vous, ne vous faites pas appeler « Maître », car pour vous, il n’y a qu’un seul Maître, et vous êtes tous frères. 9 Ne donnez pas non plus à quelqu’un, ici-bas, le titre de « Père », car pour vous, il n’y a qu’un seul Père : le Père céleste. 10 Ne vous faites pas non plus appeler chefs[b], car un seul est votre Chef : Christ. 11 Le plus grand parmi vous sera votre serviteur.»
Matthieu 23:8-11. BDS.
Les oppositions frontales à Christ dans les doctrines de l'Église sont nombreuses. La plus édifiante est sans doute celle qui invite les chrétiens, dans la lettre aux Hébreux, à tourner le dos aux doctrines de...Christ, pour avancer vers ce qui est «parfait»... Hébreux 6:1. La plus anecdotique, par contre, est celle par laquelle Paul s'attribue le titre de «Père» quand Christ l'interdit formellement. Un titre qui est exhibé par la suite par l'ensemble de toutes les obédiences de l'Église. Du «Très Saint Père», qui se veut pourtant ni plus ni moins vicaire du Christ, à Nshole. En passant par les Kankenza et les Mukuna. Au nom de Jésus Christ...
Ce philosophe au nom imprononçable ,Nietzsche, a-t-il raison quand il affirme que Paul est l'antéchrist? Doit-on dès lors s'étonner de ce que ceux qui ont choisi d'abandonner la gestion de leurs âmes à ceux-là mêmes qui leur avaient promis une servitude perpétuelle se retrouvent aujourd'hui dans la guerre, la misère et la pauvreté? Alors même qu'ils vivent dans un paradis béni de toutes sortes des richesses qui semblent profiter aux peuples qui ont apporté cette Église. Des peuples qui ont tourné le dos depuis belle lurette à cette Église, et qui vivent néanmoins dans une opulence insultante.
Comme Rome qui l'a engendrée, l'Église a-t-elle aussi ses citoyens et ses esclaves? Dans le plan spirituel s'entendant. Les faits et les écrits en attestent incontestablement. Quelle place occupent les nègres dans cet empire du mal? Sont-ils des citoyens? Sont-ils des prolétaires? Ou plutôt sont-ils des esclaves? Des chairs à canon spirituels, des bêtes de somme tout aussi spirituels, des moutons de substitution pour un Dieu assoiffés de sang ?
Vers où est donc dirigée toute cette ferveur des nègres dans les Églises aux formes d'engins étranges si les résultats sont invisibles pour les croyants? Tandis que les ayant-droits de cité du nouvel empire romain apostolique semblent bénéficier de tous les privilèges de caste au sein de cet empire?
Où vont nos morts enterrés suivant les rituels d'une Église qui nous a décrété une servitude perpétuelle ? Quelle est leur statut dans ce paradis de l'homme blanc quand ils ont passé une vie d'esclaves dans le paradis terrestre que la nature leur a offert? Et dont on les a détournés pour focaliser leur attention exclusivement vers l'enfer déguisé en paradis qui les attendaient après l'enfer imposé sur Terre.
Les ancêtres des blancs nourris par la puissance des ferveurs, des prières et des liturgies menées par les nègres ont-ils à cœur le sort de ces nègres sur Terre? En lieu et place de leurs propres ancêtres retenus captifs dans les champs de coton célestes où ils ont été entraînés avec leur consentement par toutes sortes de profession de foi?
Quel sort pour les nouveaux-nés qui sont reçus dans ce monde suivant des rituels de ceux qui nous ont promis une servitude sans fin? Peuvent-ils contribuer utilement à l'émancipation de leur société quand les dés sont pipés dès leur naissance?
Par toutes ces interrogations, peut-on sérieusement espérer autre chose que le sort qui nous est réservé aujourd'hui en nous livrant corps et âme à l'ennemi de nos âmes?
Dans La République de Platon, Socrate explique que la meilleure des cités est celle où les rois sont philosophes, ou alors l'inverse, c-à-d, celle où les philosophes sont rois. La raison est simple, puisqu'il est connu que le poisson pourrit par la tête, l'idée de Socrate est que la tête façonne le corps. Une cité avec à sa tête un philosophe est une cité où les citoyens sont le meilleur de ce qu'un être humain peut être, d'après Socrate, des philosophes.
Nous affirmons ici que la meilleure des cités est celle qui est peuplée des Saints. Car le divin est la vocation de l'humain.
Cela dit, quelle place accorder à la religion et à son attribut majeur en RDC, l'Église, dans la quatrième République que nous visualisons?
Dans la quatrième République, il n'y a pas de religion importées qui œuvrent indiscutablement au profit des puissances étrangères qui les avaient établies. Au détriment du Muntu qui en a été invariablement réduit en esclavage. Un esclavage qui va au-delà de sa condition socio-politique dans ce monde matériel.
Dans la République de KIMBANGU, l'État fondé sur les principes sacrés de la Maât Christique de la Vérité, la Liberté et de l'Équité que nous introduisons, est la Religion. Une religion décentralisée, sans clergé, établie par la pratique par l'ensemble des citoyens de la vertu et de l'adoration de la Divinité en dehors de tout dogme. Une pratique dont l'énergie est canalisée par des procédés parfaitement maîtrisés pour la protection automatique et l'épanouissement des KONGAMANI. Par une telle vertu , la République est une puissance morale qui la place de facto au-dessus de la barbarie occidentale qui a longtemps régi ce monde. Par un tel ancrage à la Divinité, elle est une puissance spirituelle qui assure l'indépendance de la Terre du KONGO et la liberté des âmes des KONGOMANI. Morts, vivants comme non-nés.
Ceci pourrait prêter à sourire pour des esprits occidentalisés. Ceux qui réfléchiraient plutôt en termes d'avions de chasse, des blindés et autres destroyers pour assurer l'intégrité du territoire. Ce qui ne manque pas de déclencher en revanche notre hilarité quand on pense par exemple à l'Afghanistan. Aucun avion de chasse ne peut décoller sous une neige abondante. Aucun missile ne peut atteindre sa cible sans la coopération du champ magnétique terrestre. Aucune infanterie ne peut se mettre en marche avec des rivières qui débordent soudainement de leur lit en provoquant de inondations apocalyptiques. De fait, plus la technologie occidentale est sophistiquée par une électronique de pointe, plus elle est vulnérable face aux éléments incontrôlés de la Nature. Comme.... la foudre? LOL. Tout ceci évidemment ne peut être conçu dans le cadre d'une religion qui développe votre nature mouton et qui vous convainc du caractère diabolique d'une technologie que vous maîtrisez à la perfection et qui est de nature à vous libérer de son influence néfaste. Pour finir comme les jouets des voisins insignifiants qui ont pris un ascendant étrange sur votre âme précisément parce qu'ils n'ont été que très peu exposés à cette religion ovine qui vous a englués dans l'indignité.
La liberté de l'âme du KONGOMANI est la responsabilité centrale de l'État dans la République de KIMBANGU. Au vu d'une menace récurrente d'un monde extérieur belliqueux qui opère suivant un instinct enraciné de soumission, d'exploitation et de domination qui ne fait pas partie du logiciel du Muntu. Des velléités d'asservissement dont le nègre a été jusque-là la victime par nonchalance intellectuelle. Mais qu'il doit désormais confronter dans une position de puissance et de connaissance.
Bukoko.Ikoki@Bushabola.com
Citoyen ordinaire.
As of The Sun of Righteousness, we do not accuse. Neither do we judge, nor condemn. We do not stone. We do not curse. We bless our enemies and persecutors. While we let the dead bury their own dead, as we pick up our Cross, we revive our loved ones from lethal errors.
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