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Le Loup de la Tribu de Benjamin dans la Bergerie.

Updated: Jun 8, 2020


La perversion de l'oeuvre de Christ par ses assassins.

Matthieu 13:24-25:

«Il leur proposa une autre parabole, et il dit: Le royaume des cieux est semblable à un homme qui a semé une bonne semence dans son champ. Mais, pendant que les gens dormaient, son ennemi vint, sema de l'ivraie parmi le blé, et s'en alla...»


On est abasourdi quand on voit le niveau de perversion et de haine dans l'Église aujourd'hui.

Comment l'Église, qui était censée montrer le chemin, est-elle devenue la grande pécheresse ?

Il y a un fait marquant dans les églises évangéliques en particulier. C'est l'exclusivité des prêches basées sur les livres de Paul. On entend jamais Matthieu. C'est systématiquement 1 Corinthiens, 2 Thessaloniciens, 3 Philippiens, 4 Éphésiens, etc.

Il semble que dans ces églises, on a tourné le dos au Jésus des béatitudes depuis belle lurette.

On pourrait croire que c'est par accident. Ce n'est pas le cas.

Nous en voulons pour preuve ce verset étrange dans l’épître aux hébreux. Dans ce verset, Hébreux 6:1, l'apôtre Paul demande aux chrétiens de tourner le dos au Christ:

6. C'est pourquoi, laissant les éléments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait...

Ce verset résume bien, à notre sens, l'ensemble de l'oeuvre de Paul.

En effet, si on ne s'arrête pas un instant sur cet extrait, on est très rapidement enivré par les paroles très mielleuses qui suivent. Et l'oeuvre de l'homme de Galates 5 est parsemée de paroles très agréables à entendre. Des chants de sirènes qui empêchent tout soupçon sur l'assassin qu'était Paul. Surtout lorsqu'il se réfère avec une récurrence à la fois constante et intrigante à « Christ Jésus ». À chaque fois qu'il ouvre la bouche.

On serait tenté de croire que ce verset 6.1 est un élément isolé, et donc en déduire qu'il s'agit peut-être d'un bête lapsus de l'envoyé supposé de Dieu, un simple abus de langage.


Paul de Tarse. Statue à la Place St Pierre de Rome.

On est édifié en considérant le verset 20.

20. là où Jésus est entré pour nous comme précurseur, ayant été fait souverain sacrificateur pour toujours, selon l'ordre de Melchisédek.

Encore une fois en lisant la suite, on peut être séduit par la bonne intention que semble avoir Paul le pharisien tant il essaie de justifier l'origine du ministère de sacrificateur de Jésus malgré qu'il n'est pas lévite. On peut être pris au jeu en pensant que Paul établit la comparaison avec Melchisédek pour prouver aux juifs qu'il existe une exception à la règle pour la fonction de sacrificateur.

On passe ainsi à côté du message que Paul fait passer. Celui d'aligner Christ sur Mélchisédek parce qu'Abraham, le patriarche des Hébreux, était déjà lui-même aligné sur Melchisédek. Il suggère donc que Christ tire sa grandeur par son alignement à Melchisédek comme si l'on pouvait l'assimiler à un des descendants d'Abraham. De sorte qu'il faille le valider par celui à qui Abraham a donné la dîme.

Or dans Jean 8:58:

58. Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis.

La suite, on la connaît...

Ce livre des Hébreux montre clairement le mépris que Paul, comme pharisien (Actes 23:6), avait en réalité pour Christ malgré les paroles enveloppées d'éloges vers ce même Christ. De ce point de vue, il cache mal la hargne qu'il a eue à s'accaparer du mouvement naissant de Christ. Après avoir vainement tenté d'en exterminer les membres avec la même hargne.

Et l'aversion que Jésus a lui-même pour ces pharisiens (Jean 8) qu'il désigne comme les créatures du diable, trouve tout son sens quand on voit le travail de sape que le plus grand des pharisiens a fait de son mouvement. Matthieu 13:24-25.

Cela dit, peut-on vraiment s'étonner de ce que Paul était un faux? Voire un faux grossier ?

On est facilement aveuglé par le récit aveuglant que Paul fait de sa conversion dans une version, mais qu'il rapporte aux disciples directs de Christ dans une autre version.

Dans Actes 9:7, il rapporte aux apôtres que les témoins de sa conversion avaient entendu une voix, mais avaient été aveuglés.

Dans Actes 22:9, lui-même explique que ces témoins avaient vu une lumière, mais n'avaient rien entendu. Hmmm.

Outre la confusion dans un moment pourtant clé de sa mission, il y a l'incohérence de son récit avec la vie de Christ.


Il est en effet impensable que Christ pouvait se tourner vers un pharisien, qu'il sait comme une créature du diable (Jean 8:44), pour lui assigner une mission vers les «blancs» (Romains 1:14). Alors qu'il demande précisément à ses disciples (Matthieu 10:5 et 18) de ne pas aller chez de tels «blancs». Ceux qui étaient présentés à l'époque comme les «gentils», ou vulgairement comme les « nations », ou encore les païens. Par un abus de langage volontairement entretenu par l'Église de mêmes blancs. Pour inclure parmi les païens les noirs, autrefois connus, d'un point de vue étymologique, comme les Égyptiens ou les Éthiopiens. Les races n'ayant été formellement distinguées que bien plus tard.


Or, Paul se dit justement apôtre de ces gentils (Les grecs et les barbares. Ignorants comme savants. Romains 1:14).

Les contradictions et les oppositions à Christ sont légions. Cependant, il faut reconnaître qu'elles ne sont pas aisées à percevoir. À cause de ce qui ressemble à un envoûtement collectif dans lequel a sombré l'humanité pendant de longs millénaires. Alors que l'ennemi plantait sa mauvaise graine.

Une majeure opposition frontale à Christ, c'est sans doute lorsque Paul se dit Père spirituel de ses disciples. Faisant de lui de fait une déité au sein de l'Église qu'il a fondée. Il dit dans 1 Corinthiens 4:15 : Car, quand vous auriez dix mille maîtres en Christ, vous n'avez cependant pas plusieurs pères, puisque c'est moi qui vous ai engendrés en Jésus Christ par l'Évangile.


Le «Saint Père». L'homme blanc au sommet probablement de son plus haut blasphème lorsqu'il se substitue à Dieu selon Ésaïe 37:16. SG21: 16 «Eternel, maître de l’univers, Dieu d'Israël, toi qui sièges entre les chérubins, c'est toi qui es le seul Dieu de tous les royaumes de la terre, c'est toi qui as fait le ciel et la terre...

Christ dit pourtant dans Matthieu 23:8-9:

8 Mais vous, ne vous faites pas appeler Rabbi; car un seul est votre Maître, et vous êtes tous frères.

9 Et n'appelez personne sur la terre votre père; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux.

L'apôtre Paul est-il un simple contradicteur mal avisé d'un Christ, qu'après tout, il n'a jamais connu ? De toute évidence, non. On se souvient effectivement que son épopée qui se termine par l'infiltration du mouvement de Christ, commence par l'extermination de ses disciples. Un exploit qu'il ne regrette absolument pas. (Philippiens 3:6).

En pharisien qu'il est, il est aussi vu comme une créature du diable par le Christ (Jean 8:44). Il est intéressant de noter que le totem de la tribu associée à Paul, celle de Benjamin, est un loup.


Pendant que le «Saint Père» se glorifie personnellement à Rome. L'image de Christ est établie comme un objet permanent de moquerie par l'église romaine en souvenir du traitement barbare que lui a imposé Rome. Un cadavre perché en brochette sur un baton qu'arbore personnellement le Pape romain tel un trophée.

D'un point de vue spirituel, il est intéressant de noter la rivalité qui existe historiquement entre la tribu de Benjamin et la tribu de Juda pour la régence du royaume uni d'Israël.

Il faut savoir que lors la confédération des tribus d'Israël en un seul royaume, seul le royaume de Juda refuse de faire partie de cette confédération. Et le premier roi de cette confédération est un roi benjaminite, Saul... Ce dernier a été établi après que la tribu de Benjamin ait elle-même été rétablie par les autres tribus. Après la bataille de Guibéa. Celle qui avait été déclenchée par le viol de la femme d'un membre de la tribu de Lévi par un groupe de benjaminites. Poussant les autres tribus à se liguer contre Benjamin. Et à pousser cette tribu à se réfugier dans des cavernes pendant 4 «mois».

Il y a donc, à tout le moins sur le plan spirituel, une rivalité entre le loup vorace qui représente Benjamin et le lion de la tribu de Juda.

Théologiquement, le loup ravisseur est associé aux personnalités fortes de la tribu de Benjamin comme Saul. À la fois comme premier roi d'Israël uni (moins Juda), mais aussi comme Paul. Antérieurement connu comme...Saul.

La haine de ce loup ravisseur pour les disciples du lion de la tribu de Juda semble donc avoir des racines spirituelles profondes.


C'est sans doute par la puissance de la vision perçante de Jésus Christ qu'il met en garde ses disciples contre les loups ravisseurs revêtus de la peau de brebis dans Matthieu 7:15:

15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.

Mais ceux-ci, comme à leur habitude, ne semblent pas comprendre le Christ. Ils embrassent, il est vrai avec beaucoup de réticence, le loup ravisseur de la tribu de Benjamin, Saul.

Dans son omniscience, le Christ ajoute dans Matthieu 7:16:

16 Vous les reconnaîtrez à leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des chardons?

Quels ont été les fruits de l'apôtre autoproclamé Paul ? La mort et la haine. Avant comme après sa conversion.

Cueille-t-on un vrai prophète avec des assassinats ou des appels au meurtre, des sacrifices à Satan?

Pour l'Église, l'apôtre Paul est incontestablement un loup dans la bergerie.

Pour s'en convaincre, on peut le voir dans 1 Corinthiens 5:5.

5 qu'un tel homme soit livré à Satan pour la destruction de la chair, afin que l'esprit soit sauvé au jour du Seigneur Jésus.

Encore une fois, le nom de Jésus est utilisé pour masquer une abomination incroyablement satanique.

Ce passage démontre invinciblement la collaboration entre Paul et Satan dont il est un agent à qui il va jusqu'à «livrer» des «âmes» en prétendant préserver l'esprit.

Des âmes que Jésus est précisément venu délivrer de l'emprise de ce même Satan (Matthieu 6:13).


Alors que Jésus nous demande d'aimer et de prier pour nos ennemis, de pardonner ceux qui nous ont offensés, de ne jeter la pierre sur personne, Paul nous demande de livrer à Satan nos propres frères dans la foi qui ont fauté.

Tel père, tel fils ? En conclusion.

Aujourd'hui, les pasteurs dans les églises, les prêtres, les évêques, les cardinaux, les papes, tous, se présentent comme les pères de leurs oies.

Ce faisant, ils s'opposent frontalement à Christ par Paul qu'ils ont décidé de suivre.

Dans les mouvements évangéliques en particulier. Là où du début à la fin des sermons, c'est 1 Corinthiens, 2 Thessaloniciens, 3 Philippiens, 4 Éphésiens... Jamais Matthieu 23.

Puisque Paul le pharisien, mais aussi l'agent de Rome qui a assassiné Christ, est leur père et qu'il sert le diable, on peut en déduire objectivement que tous ces pasteurs sont au service du diable. Comme Paul, leurs fruits sont effectivement le zèle, la suffisance, l'arrogance et l'ignorance.

Il faut aussi observer que, comme Paul, Rome est associé au loup par ses fondateurs qui ont été maternés, selon la légende, par une louve. Comme les benjaminites, les blancs que Paul choisit d'évangéliser se sont réfugiés dans des cavernes, durant de nombreux siècles, avant de refaire leur apparition et accéder au trône des «puissances» qui dirigent le monde.

Rome aujourd'hui, ce sont ces «puissances» occidentales. Localement, ce sont les gouvernements qui sévissent dans les nations respectives de cet empire romain d'occident qui a à sa tête le fameux Léviathan.

Le lien qui existe entre ces gouvernements et ces églises, notamment celles dites de réveil, est indiscutable. Tant ces dernières apparaissent carrément comme des relais de ces gouvernements pour diverses activités de subjugation, de contrôle, de manipulation, voire de subversion le cas échéant.

Il ne sera pas dès lors étonnant demain, au retour du lion de la tribu de Juda, si nous apprenons à leur sujet la réponse que Christ leur réserve dans Matthieu 7:23:

23 Alors je leur dirai ouvertement: Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité.

Après que nous lui ayons clamé le Psaume 73:14 en latin (Vulgata) qui ne trouve pas, hélas, de traduction sérieuse dans les versions «barbares» (Psaume 74:14):

14 Tu confregisti capita draconis; dedisti eum escam populis AEthiopum

Bukoko Ikoki,

Citoyen ordinaire.











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As of Christ, we do not accuse. Neither do we judge, nor condemn. We do not stone. We do not curse. We bless our enemies and persecutors. While we let the dead bury their own dead, as we pick up our Cross, we revive our loved ones from lethal errors.


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